Valérie de Minvielle
Chroniqueuse
Psychologue clinicienne, Valérie de Minvielle fonde après 20 ans d’expérience professionnelle « Ma Juste Place », une méthode d’accompagnement personnalisé pour les femmes qui veulent se sentir à leur juste place dans leur vie de couple, en tant que mère, et dans leur vie professionnelle et sociale. Elle est également l’auteur de « Trouver ma juste place – dans le quotidien de 7 femmes inspirantes » paru en janvier 2020 et de « Imparfaite mais heureuse », paru aux éditions Mame en 2023.
Dans ma tête
En pensant bien faire, je me suis abîmée
« En pensant bien faire, je réponds à tous les e-mails que je reçois. Je fais mon travail avec engagement, et[...]
Dans ma tête
“Je n’en peux plus mais je n’ai pas le choix.” Vraiment ?
Le choix, nous l’avons en abondance. Dans le moindre supermarché, où les rayons croulent du même produit en toutes les[...]
Dans ma tête
Je ne veux pas que mes enfants vivent ce que j’ai vécu
Nos souffrances d’enfant nous poussent parfois à aller voir un psychothérapeute, parfois pas. Chacun se débrouille, plus ou moins bien,[...]
Maman épuisée
3 pistes pour vivre moins fatiguée
La fatigue est l’objet de plaintes qui reviennent dans la bouche de toutes les femmes qui toquent à la porte[...]
Dans ma tête
À Noël, ma place d’adulte est difficile à trouver
Noël est la fête du creux de l'hiver, ce moment où l'on touche le fond de l'obscurité, où tout est[...]
Dans ma tête
À toi qui vieillis, j’aimerais dire…
C’était hier, dans les vestiaires de la salle de danse. Elle me dit : « Je ne sais pas ce qui me prend,[...]
Travail & foyer
Je veux tout à la fois, comment trouver l’équilibre ?
L’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée est un grand sujet pour les femmes du XXIème siècle, celles qui[...]
Maman épuisée
Que faire de mon regret d’être mère ?
Dans la vie d’une mère, il y a regrets et regret. Certaines femmes se plaignent du carcan où les contient[...]
Maman épuisée
Scroller ses pensées provoque l’épuisement
Les femmes qui viennent à moi arrivent souvent avec la plainte d’avoir trop à faire. Elles expriment à la seconde[...]